RPG - 74, Thornhill Rd, Newcastle, ancienne maison de Charles Rider.

Charles Rider habite au 74, Thornhill Rd, Newcastle pendant ses vacances d'été, de Pâques et de Noël .Ce qui veut dire qu'il demeure à Poudlard . Autrement, (en vacances) il passe son temps libre dans cette maison moderne moldue .

Merci de sonner avant d'entrer !

EDIT :

Maintenant, Charles est déménagé chez sa belle Misha.

Jill et charles arrivère à la maison de charles Rider.Après la bataille il avait voulut lui parler.Ils entrèrent dans la maison.


-Elle est pas mal mais j'aimieux la mienne
Fit-t-elle.
Elle reprit son sérieux et dit :


-Alors de quoi voulais-tu me parler ???


Demanda-t-elle doucement , en regardant la maison.

Charles scruta le regard de Jill .

-Oui, c'est mon chez moi .À chacun ses goûts .

Dit-il en souriant .Il invita Jill à s'asseoir sur son sofa et l'Auror alla chercher de la nourriture .Charles servit du jus, des chips et des petits pains chauds à son invité .Cette dernière lui demanda de quoi il voulait lui parler .

-Oh de rien ... je voulais juste que tu sois en sécurité et que tu puisses prendre une douche, te rassasier et je voulais aussi qu'on ait une discussion entre amis .

Jill répondit avec douceur :


-Ah d'accord...Ah oui Charles je voulais t'inviter à mon mariage mais si tu veux pas c'est ton choix...


Elle poursuivit avec :

-Euh...aussi je voulais savoir si misha sa l'interesserait d'être ma torisième demoiselle donneur.


Elle rigola parce que charles lui disait que ce n'était que deux demoiselles donneur mais elle disait trois.

-Oh oui ! Je suis ravi de pouvoir venir. Je ne sais pas si elle veut, sûrement. Tu lui enverras un hibou.

Répondit Charles. L'heure qui suivie, les deux amis parlèrent de tout et de rien jusqu'à ce que Jill lui dise qu'elle devait y aller. Le directeur ouvrit la porte et laissa la directrice de Serpentard transplaner en paix. Après quoi, il décida d'aller faire de l'exercice au gym moldu de la ville.



Charles était avec Misha,chez lui, préparant la fête pour le Jour de l'An. Aujourd'hui, c'était le 31 Décembre. Quand le directeur eut finit de préparer le buffet et Misha d'installer la grande banderole aux couleurs vives où était écrit : "Bonne Année !", la sonnette de la maison retentit. La chatte des Forêts Norvégiennes de Charles, Malie, s'enfuit aussitôt en courant pour se réfugier en-dessous du lit du directeur, un étage plus haut.

-On a tout juste eu le temps de terminer la préparation !

Lança le professeur en allant répondre. En ouvrant la porte de sa demeure, Charles découvrit sa mère, Camille.

-Salut maman, entre.

La femme veuve entra et découvrit une piste de danse improvisée dans le salon, une grosse radio sur un meuble, une table à manger remplie de victuailles pour tous les goûts , une banderole où était écrit "Bonne Année !", des balounes flottant un peu partout et pleins de serpentins. Camille remarqua aussi qu'il était cinq heures et onze minutes, sur une horloge. La mère des Rider accrocha ses vêtements d'hiver sur le porte-manteau, ainsi que divers sacs. Misha et Charles l'accueillir chaleureusement et l'invitèrent à s'assir sur le sofa du salon.

Christian voulait aider Fay à porter les affaires, mais non, cette dernière n'en avait pas vraiment envie, bien trop contente d'etre avec son petit bébé d'amour. Pour cette dernière soirée de l'année, Christian avait opter pour une chemise blanche, une cravate rouge et un pantalon cigarette noir aussi. Cela lui rappelait l'époque où il était ministre de la justice. Une époque révolue puisque c'était la talentueuse Kaila Sanchez qui l'avait remplacé. Son épouse était vraiment très charmante tout comme Clara. Bien que sa femme n'ait point d'égal, le jeune homme n'avait d'yeux que pour elle. Il s'en alla saluer Charles, Misha avec un grand sourire puis se sentit un peu gêné devant la mère de Fay. Le fait qu'elle ait perdu quelqu'un rendait désolé Christian. Il chassa ses idées de sa tete puis observa Fay et sa petite fille entrain de rigoler. L'auror leur sourit puis se demanda si il y avait besoin d'aide quelque part. Puis Fay lui mit Clara dans les bras, elle était si mignonne, elle avait tout de sa mère, son charme, ses yeux et sa beauté. La petite s'aventura sur le visage quelque peu égratigné de son père, ce qui lui fit grandement plaisir, surtout qu'elle n'ai plus peur et qu'elle ne se mette pa sà pleurer à chaque fois qu'il venait lui faire un bisou ou un calin... Le jeune homme entendit que quelqu'un sonnait, des personnes qu'il ne connaissait pas encore. Mais quand Fay prit la main de Christian, en lu souriant, et qu'elle lui annonça qui ils étaient, Clara et lui, tout devint clair. Il s'agissait des grand-parents de Fay. Ceux de Christian étaient morts du coté de sa mère et du coté de son père, à Azkaban, comme ça, on était sur que ce n'était pas de la bonne graine de sorcier Il se détacha de la main de Fay pour aller voir les deux nouvelles personnes

-Bonsoir, bonne année, ravi de vous rencontrer enfin

Dit il, d'une simple traite, en souriant et en serrant la main au grand père et en faisant la bise à la grand mère. Puis, le jeune homme partit voir Charles, pour savoir si il avait besoin d'aide, surtout en cuisine

-Charles, tu veux de l'aide ? demande, je suis là

Christian redonna Clara à sa mère, histoire qu'elle se fasse chouchouter par ses arrière grands parents.

Charles dit bonne année à tout le monde et répondit à Fay :

-Whinteur est dans sa cage, en haut. Malie est allée se cacher en-dessous de mon lit. En fait, j'ai deux chattes ! Madonna doit être près d'ici ... je ne l'ai pas vu. C'est ma petite nouvelle, elle est encore très petite. Malie et elle sont devenues de bonnes amies !

Il éclata de rire.

-Mado ! Viens, viens !

Tout à coup, une petite chatte très mince et toute grise sortit de nulle part et vint se frotter contre la cheville de Fay. Charles partit à la cuisine. La sonnette retentit et Gisèle ainsi que Jean entrèrent. Le directeur alla leur dirent bonne année et tout, puis retourna à la cuisine. Les parents de Camille et elle-même s'assirent dans le salon et commencèrent à parler de tout et de rien. Jean était le seul moldu, mais il connaissait le secret et ne s'en souciait pas. Christian vint le voir et lui proposa son aide.

-Oh ... si tu pourrais juste mettre ces plateaux de sandwichs sur la table, ce serait gentil. J'ai presque fini de faire le dessert. Je rajoute un ingrédient et je mets à la cuisson.

Répliqua Charles.Quand il eut fini de mettre au four un gros gâteau, le professeur alla rejoindre les autres. Fay et Clara s'amusaient avec la petite Madonna, qui s'entêtait à ne pas vouloir être prise. Mado était têtue et solidaire. Christian et Jean parlaient ensemble et les trois autres femmes de leur côté.

-Je suis content de rencontrer le fiancé de ma petite-fille. Christian, n'est-ce pas ? Quel est ton métier ?

De leur bord, Camille racontait une vieille anecdote à sa mère et à sa bru.Fay viendrait sûrement bientôt les rejoindre. Charles, quant à lui monta en haut pour voir ce que fabriquait Malie. Il la trouva en-dessous du lit, comme il l'avait prédi à sa soeur. La chatte des Forêts Norvégiennes tremblait de peur.

-Voyons, n'est pas peur comme ça ! Je sais que tu as peur des étrangers, mais il va falloir que tu fasses un effort.

Contrairement à Madonna, Malie adorait se coller contre Charles. Elle ronronnait souvent et aimait les caresses et quand on la prenait dans ses bras, mais seulement avec ceux qu'elle connaissait. Quand Charles s'en allait pour prendre Malie par la force, Laponie, sa nouvelle chouette surgit par la fenêtre en émettant un petit bruit. Le directeur interrompit son geste et vint voir sa chouette Lapone qui avait du courrier pour lui. Elle tenait une lettre dans son bec. L'Auror la prit et décida de la lire plus tard. Il redescendit en bas, laissant Laponie reprendre son envol.

Charles lui demanda de poser le plateau de sandwich puis se mit à parler d'animaux, Fay et Clara s'amusait, les femmes d'un coté à parler de tout et de rien. Christian, en déposant le plateau sur la table, se remit à parler avec le grand père de Fay.

-Oui, oui, Christian et je suis guérisseur à Sainte Mangouste depuis peu.... En pathologie des sortilèges.

Dit il en laissant apparaitre un petit sourire en coin de ses lèvres. Il ne comptait pas lui dire qu'avant, il était ministre de la justice ou bien qu'il exerce la fonction d'Auror, de chef des Aurors. Heureusement qu'il avait eu son jour de congès aujourd'hui, sinon, Christian aurait très certainement été de garde cette nuit. Bien q'un hibou puisse survenir à tout moment pour le prévenir, en cas qu'il y ait trop de blesser. En ce soir de réveillon, tout le monde serait bien étonné de ce qui se passe vraiment aux service de la pathologie des sortilèges.

-Et vous ?

Demanda le jeune homme en le regardant puis en détournant ses yeux verts vers Fay et Clara.

En descendant, Charles se rendit vers sa soeur et sa nièce. Elles avaient l'air à bien s'amuser à poursuivre la chatte.

-Eh bien, vous vous amusez bien !

Lança le directeur en s'accroupissant aux côtés de Fay.
De son côté, Jean aurait sûrement pas compris ce que voulait dire le mot "auror", alors c'était bien inutile de lui en parler.

-Pathologie des sortilèges ? Mais voyons, qu'est que c'est ? Nous on dit docteur au lieu de guérisseur ...

S'exclama le moldu, surpris.

-Selon moi, ma femme ne m'a pas assez parler de ce que font les sorciers.

Charles fut bien content que Fay lui confie sa filleule. Après un bref merci, le directeur mit Clara sur ses genoux et lui montra Madonna. Le bébé eut peur et se cacha derrière le dos de son parrain. L'enseignant éclata d'un petit rire, légèrement moqueur et pris Clara dans ses bras, repoussant la chatte grise. Cette dernière partit tranquillement vers l'étage supérieur. L'Auror alla voir si tout allait bien pour la cuisson, sa filleule dans ses bras. Clara l'observait, intéressé. Elle regardait d'une drôle de manière son parrain.

Un peu plus loin, Camille finissait un long récit dans lequel elle racontait la première fois ou (désolé, mais je ne suis pas capable de faire un ou avec accent de grave, sur ce clavier) il avait fait des pâttiseries.

Après que Christian ait répondu à Jean, Charles arriva devant toute lam compagnie et annonça :

-Le souper est prêt, vous pouvez venir à table, il y a vos noms écrits devant les bonnes chaises ...

Tous se levèrent et se dirigèrent vers la table. Charles était au bout de la table, Misha à sa gauche et son beau-frère à sa droite. Fay était à côté de son amoureux et Clara reposait dans son berceau, sur une chaise, près de sa mère. À la gauche de Misha, Gisèle, puis Jean qui était en face du bébé.Le buffet fut servi et tous commencèrent à manger. C'est là que tout le monde pu se parler ensemble.Le directeur de Poudlard fut le premier à prendre la parole :

-Bonne année !

Il leva son verre. Les autres l'imitèrent bientôt en souhaitant eux aussi une bonne année. Après, ils burent à la santé d'une année encore meilleure.

-Misha, Christian ... je ne sais pas si vous avez fait la connaissance de mes grands-parents. Voici Jean et Gisèle. Ils vivent dans un centre de personnes âgés, à Edimbourg.

Leur apprit Charles.

-J'ai déjà eut la chance de rencontrer ce jeune gaillard. Dis-moi, Christian, que fais-tu pour garder la forme ? Mais avant, je voudrais dire un bonjour à ton amoureuse, Charles.Enchanté de faire ta connaissance, chère jeune femme !

La famille de Fay et Charles était si belle que le jeune homme en serait presque jaloux. Christian les observait tranquillement, avec bonheur et sourires. Jean avait un peu de mal à le comprendre, bien normal puisque guérisseur ne voulait pas dire la même chose que ce qu'il disait. L'auror lui fit un sourire et un hochement de la tete. Pour garder la forme, c'était bien simple, c'était Fay qui lui apportait toute la joie et l'amour nécessaire, bien qu'elle ait dit que ce dernier était baveux...

-C'est simple Jean, c'est votre petite fille qui me le permet, bien sur, à l'hopital, je cours beaucoup...

Christian se mit à regarder sa Fay puis retourna ses yeux verts vers Jean, toujours aussi souriant. Il partit s'installer à la table même si il n'avait pas vraiment faim. En effet, le jeune homme pensait à sa mère, décédée dans la vie mais toujours aussi présente dans son coeur d'homme accompli et comblé par une magnifique femme et une petite fille maintenant ainsi qu'une merveilleuse famille.

La joie était au rendez-vous. Misha semblait être vraiment contente d'être assise autour de cette table. C'est là que Charles se rendit compte qu'il ne connaissait pas grand-chose sur la famille de Misha, de son enfance ... Le directeur se promit de lui en parler. Après tout, il était curieux dans la vie.

-C'est beau ce que tu dis, jeune homme. Je pense que Fay a de la chance de t'avoir comme p'tit amoureux.

Dit Jean qui était un peu bizarre. Tout le monde commença alors à manger, en silence. Mais ce silence partit bien vite. Jean commença à parler à Camille, Gisèle à Fay ... Il restait donc Misha, Chris et lui qui écoutaient les histoires des autres. Christian se joint bientôt à sa belle et à la grand-mère de celle-ci, tandis que Charles profitait du brouhaha pour parler seul à seul avec Misha.

-Parle-moi de ta famille, ton enfance ... je me suis rendu compte que je connais rien à cela, ou presque.

Dit-il à voix basse.

Charles pensa tristement à ce que Misha venait de lui révéler.

-C'est une bien triste histoire ... Maintenant je comprend mieux. Je n'osais pas te le demander avant, je me doutais que ce n'était pas joyeux. Je ne connais personne qui n'a pas surmonter d'épreuves dans la vie. Moi par exemple, c'est la pauvreté de ma famille ... mais on a réussi à s'en sortir...

Le directeur songea à ses dernières paroles et reprit :

-Cela me fait penser au nauvrage du Titanic. Je ne sais pas si tu connais cela ... c'est un navire moldu qui a sombré, dans l'Atlantique. Je suis toujours curieux de connaître l'histoire des moldus ... Bref, ce super navire que tout le monde convoîtait, en fait c'était le plus gros de l'époque. Il avait 2 200 passagers et lorsqu'il sombra, seulement 706 ou 707 personnes survécurent ! Ils ont fait un film là-dessus et il y avait Jack, qui était dans la troisième classe du navire, c'est-à-dire, les pauvres. Et il y avait Rose qui était dans une famille de riches, en première classe. Elle était fatiguée de vivre et un jour, elle tenta de se suicider. Mais, Jack la sauva. Depuis, ils sont follement amoureux. Le film nous montre que les riches, Rose ... ont toujours un atmosphère glacial et tout, comme ta famille. Jack, lui est pauvre, mais s'amuse beaucoup dans sa vie. Supposant que nous nous serions rencontrés, plus jeunes, quand j'étais pauvre.... ce serait presque la même histoire.

Christian se sentait plus qu'heurex dans cette famille. Bien que la solitude ne lui fasse point défaut. Le jeune homme se sentait perdu dans cette vague de conversation. Il se mit à regarder sa fille très longuemment en lui souriant de loin, en faisant de petite grimace, histoire de s'occuper. Le diner était vraiment succulent, Charles avait des dons certains pour la cuisine. Christian lui en fit part dès que ce dernier fut libre. Puis, au file des minutes, sa fiancée se leva brusquement, puis partit de la table en assurant son retour. Tout de même inquiet, l'auror partit peut de temps après elle, lui aussi en s'excusant auprès des autres personnes.

-Je vais voir ce qu'elle a, je reviens, excusez nous.

Le jeune homme suivit la trace de sa fiancée, ce qui le mena directement à la salle de bain. La porte de celle ci était fermée. Rien ne résistait, du moins presque rien, il ouvrit délicatement la porte, envoyant sa Fay appuyée sur l'évier. Christian mit son épaule sur l'angle de la porte puis souffla d'une voix douce

-Ca va mon coeur ?

Il était évident que quelque chose n'allait pas, peut etre à cause de la mort de son père ?

Fay entendit des pas s'approcher.Ça ne servait à rien de barrer la porte, ça ferait du drame pour rien.Elle ne voulait pas déranger sa famille, personne ne semblait y avoir penser et c'était tant mieux.La porte s'ouvrit et Fay découvrit Christian.Elle fût secouée par sa beauté et son aisance.Sa voix était si douce qu'elle voulu tout lui dire mais se ravisa en baissant son regard vers le sol.

-Ça va...Je...J'étouffais là-bas.Je ne sais pas pourquoi..Mais, ça va.

Elle lui sourit et attendit sa réaction.

C'était maintenant évident, les pensées du jeune homme se confirmait grace ou à cause de sa réaction. Christian se mit à avancer vers elle calmement. Il savait très bien et si ell ene voulait pas en faire un drame, c'était tout à fait normal. Le jeune homme continua son avance puis enlaça tendrement sa fiancée.

-C'est l'essentiel, on y retourne quand tu veux mon coeur.

Il avait murmuré ces paroles aux oreilles de son amour, d'une voix toujours aussi douce et tendre.

Charles ri avec sa belle, Christian lui dit que le repas était succulent. Le directeur le remercia, content que ça lui plaise.Ensuite, Fay partit. Bientôt suivit de son fiancé. Gisèle, qui écoutait la conversation de son mari et de sa fille, se retourna.Camille s'inquièta grandement de sa fille. À l'habitude, elle ne faisait pas ce genre de choses. La mère voulu aller la rejoindre, mais Christian le fit à sa place et de toute manière, elle parlait avec son père. Une fois que les occupants de la table se retournèrent pour retourner à leurs occupations, car ils savaient que l'amoureux de Fay saurait arranger l'affaire. Charles en profita pour dire à sa belle :

-Tu as raison. Je vivrai toujours à tes côtés.

Charles lui donna un baiser discret.

Le calin de Christian la réconforta, comme toujours.Seul lui était capable d'apaiser sa souffrance.Fay resta dans ses bras un moment, respirant son doux parfum.Elle recula et baissa la tête.

-Qu'est-ce que je vais dire aux autres ?

Elle sourit bêtement.Elle se trouvait vraiment innocente...

-Je vais faire comme si j'avais mal à la tête.Mouais..

Elle réfléchit un instant puis lança spontanément en se massant le front :

-Désolée...J'ai un petit mal de tête mais ça va passer.Alors, pas pire comme imitation ?