RPG - Ollivander [Rabais]

Draik entra dans le magasin de baguette. Il chercha du regard le vendeur. Ce dernier fini par apparraître. Le jeune Serpentard s'avança vers le vieille homme, commença a pencher la tête d'un bord à l'autre.

-Est-ce que je vous redonne la même sorte de baguette que la première ? Demanda Ollivander.

Draik se demanda s'il le vieille homme homme était fou, à force de rester seul. Mais non.. Pourquoi il n'y avait pas penser plutôt. Ollivander croyait qu'il était Lunth. Draik rit un peu, et inspira profondement.

-Allez, donnez-moi une baguette d'Érable avec Poudre d'ail de fée 27 cm. Lança Draik en le pressant de la main.

Il avait choisit le même genre que Lunth, mais en moin long. La fameuse baguette parvint à ses mains, il paya, et partit.

Regard à terre, cheveux coiffés n'importe comment, cigarette à la main, Gail prit place aussi dicrètement que possible dans la boutique. Pour une fois, il n'empestait pas l'alcool, juste un mélange de son parfum et de la fumée de cigarette. Visiblement, la boutique régissait des mêmes lois que celle du pays moldu... Interdiction de fumer dans l'enceinte de la boutique. L'Irlandais éteignit donc sa cigarette contre la paume de sa main. La brûlure s'effaça très rapidement. Un vieil homme vint au jeune homme. Ses yeux, toujours aussi noyés dans leur tristesse, découvrir très vite qu'il s'agissait, en faite, du gérant de la boutique. Gail ne voulait pas parler, il allait juste dire les rudiments, comme d'habitude.

"Bonjour...Je..."

"Tenez, une baguette en Roseau, Crin de Griffon de 34 cm"

A croire qu'en si peu de temps, le vieil homme pensait connaitre le jeune homme, ce n'était pas le cas, pour la bonne et seule raison que l'Irlandais était bien trop complexe et ne laissait rien paraitre.. Gail laissa paraitre un léger et timide sourire sur ses lèvres. Il sortit l'équivalent exact du prix de son emplette puis sortit, en rallumant une cigarette.

En voyant arriver un autre de ses anciens clients, Ollivander Junior Junior Junior Junior .... eut un sourire.

-Quelle est l'excuse, cette fois ? ,demanda le vieillard, ne perdant toujours pas son sourire éternel.

-J'ai essayé de lancer un sort et ma baguette a explosé.

Le vendeur de baguettes magiques eut un petit rire doux et disparu parmis les étagères.

-Prunellier, Ventricule de coeur de dragon, 32 cm. 4 gallions, s'il vous plaît.

-Com... comment vous ?

-Ça fait longtemps que je t'attend et j'ai déjà vérifié, c'est la bonne.

-Pour moi, vous avez des dons de voyance ! ,rétorqua Christopher en donnant les gallions.

Ollivander ria à nouveau, prit l'argent et fit signe au jeune homme de 20 ans de s'en aller. Celui-ci s'exécuta et sur l'allée, sa nouvelle baguette fit des étincelles : elle marchait à merveilles, comme l'avait dit le vieux Olli.

Elena entra dans le magasin d'ollivender .

-Bonjour j'ai besoin d'une baguette

Fit Elena d'un ton glacial . Ollivender s'exécuta et lui ramena une baguette .

-Une baguette en roseau , crin d'hipogriffe et 30 cm .

Ollivender lui donna sa baguette et lui demanda l'argent . Elena le regarda et partit avec sa nouvelle baguette qui étincelait dans sa main .

Je me promenais au beau milieu du chemin de traverse, je cherchais mes fournitures scolaires pour Poudlard. Je voulais commercer par Fleury & Bott, mais quand je suis passé, avec ma mère et mon père, à côté d'Ollivander, le magasin de baguette magique, mes parents m'ont obliger à commercer par celui-ci. Quand je suis entrée, j'ai fait signe à mes parents de me suivre mais ceux-ci me répondirent qu'il fallait que je trouve seul ma baguette, pour m'habituer à Poudlard. Donc je me suis retourner et j'ai continuer mon chemin vers le comptoir d'Ollivander. Comme j'étais impatiente d'aller chez Fleury & Bott, je n'eu pas le temps de respecter le protocole de politesse.

-Donnez-moi une baguette et plus vite que ça!

L'homme m'a regarder férocement puis il s'approcha de moi pour me parler. Ensuite il siffla entre ses dents:

-Et qu'elle est ta sorte de baguette?

Tout d'un coup je me suis sentit un peu déboussolée. Je ne connaissait pas ma sorte de baguette. Mia sj e ne voulais pas me laisser frustré par ce vieil homme...

-Euh...et bien...bon je ne sais pas!

-Alors voilà...tu fais moins la maline maintenant ! Mais je crois savoir ce qu'il te faut.

Quand Ollivander disparu dans les étagères du fond, je me suis sentit indignier. Mais au moins, Ollivander à trouver une baguette pour moi, je le devait quand même du respect. Tout à coup il réparut avec un boîtier dans la main. Il sortit la baguette de celui-ci puis me la donna, Quand je fit le geste, des étincelles jaillir de la baguette...c'était la bonne.

-Tiens jeune fille, c'est une Roseau, Poudre de crochet de Basilic, 30 centimètres. Cela te coutera 4 gallions s'il te plaît.

Je sortit 4 gallions de mes poches puis je lui les donna. Avant de sortir, je me suis retournée vers lui puis j'ai dit:

-Et en passant désolée de vous avoir manquer de respect...

Puis le viel homme me lança un sourire, et je fit de même avant de quitter la boutique...

Aujourd'hui , Jenny devait aller acheter ses fournitures sur le chemin de traverse. Tout en continuant à marcher , elle regarda la grande liste que la directrice des serpentards lui avait donné : Elle en avait pour un moment ! Elle décida de commencer par sa baguette. Elle le va la tete et chercha la fameuse boutique d'Ollivander. Celle-ci fit son apparition. Jenny entra doucement dans la boutique poussiéreuse et sinistre. Elle ne vit personne. Elle continua a avancer jusqu'au comptoir où il y avait une sonette pour appeller le vendeur. Avant que celle-ci puisse retentir , le vendeur arriva brusquement devant Jenny.
-Que puis-je pour vous ma demoiselle ?
Jenny regarda le vendeur d'un regard surpris.
-Euh ... je viens acheter une baguette.
-Et bien vous êtes au bon endroit ! Je vous laisse regarder , je dois finir de ranger au fond.
Venez me voir dès que vous avez finis.
-D'accord.
Jenny n'avait pas toute l'année pour choisir ses fournitures. Elle choisit rapidement. Elle trouva par chance celle qui lui fallait : Une baguette de 27,5 cm en bois de roseau avec de la poudre d'ail de fée. Jenny l'adorait déjà.
Elle rappela le vendeur pour qu'elle puisse payer et s'en aller.
- Ca vous fera 4 gallions s'il vous plait !
Jenny fouilla dans sa poche et sortit pile ce qu'il fallait.
-C'est parfait , merci beaucoup. Bonne fin de journée !
-Merci , au revoir.
Elle prit sa baguette à la main et sortit toute joyeuse de chez Ollivander.

Wendy marchait paisiblement sur l'allée du Chemin de Traverse. Le soleil plombait, cette journée-là et il n'y avait pas le moindre nuage en vue. La jeune femme avait besoin d'une nouvelle baguette magique, son autre s'étant cassé stupidement. Tout en entrant chez le marchand de baguettes, Wendy pensait à Alexandre, son ancien amoureux. Cela ferait bientôt 1 semaine que la jeune femme aurait laissé tomber Alexandre et elle se demanda pour la énième fois si c'était une bonne chose d'avoir fait cela. D'un côté, elle ne ressentait plus rien pour lui. D'un autre côté, elle l'avait tellement aimé, pendant de longues années. Est-ce que elle l'aimerait à nouveau ? Pour l'instant, c'était trop tard. Wendy se mit en file car il y avait un jeune garçon aux cheveux noirs qui essayait des baguettes. Le garçon devait être un futur élève de Poudlard, pensa Wendy. Au bout de 5 minutes, ce fut son tour de s'avancer vers le vieux vendeur.

-Bonjour, monsieur Ollivander ,le salua-t-elle, il me faudrait une nouvelle baguette magique. Je cassé mon autre ... stupidement.

L'homme releva la tête et observa Wendy un instant.

-Oui, oui ... bien sûr. Je vais voir cela, attendez-moi ici, jeune femme. ,finit-il par répondre.

Ollivander disparut parmis ses imposantes étagères de boîtes contenant les baguettes. Il revint un moment plus tard avec une vieille boîte poussièreuse.

-Essayez celle-ci, je vous prie. ,dit-il, poli.

Wendy saisit la boîte et l'ouvrit. Ensuite, elle prit la baguette magique qu'elle contenait et la secoua légèrement. Il y eut une petite détonation et tout à coup, un aura blanc entoura la sorcière. Cette dernière resta stupéfaite.

-Oui, oui ... ce sont des choses qui arrivent. ,dit-il, impassible, ça fera 4 gallions ,ajouta Ollivander devant l'air comme figée de Wendy.

Celle-ci reprit ses esprits et donna ce qu'elle devait au marchand. Mais avant de partir, elle demanda :

-Elle est faite de quoi, ma baguette, monsieur ?

-Ah ! J'oubliais, pardonnez-moi. Elle est en bois de Prunellier, avec une plume de phénix et mesurant 29.5 cm. ,répliqua-t-il, l'air désolé.

Wendy acquiesça et adressa un sourire à Ollivander avant de quitter vers le Chaudron Baveur.

C'était il y a cinq jours. Ses parents, père sorcier et mère moldue avait recus une lettre venant de la célèbre école Poudlard. Il fallait s'y attendre, Near avait onze ans maintenant. Aujourd'hui, seul son père l'avait accompagné au chemin de Traverse pour acheter ses fournitures scolaires. Near s'en fichait pas mal dans le fond. Il n'y avait qu'un seul objet qui l'intéressait et c'était le seul au monde a en connaitre l'existence. Biensure il ne s'en était jamais servit, c'était quelque chose de très puissant mais qu'il prenait garde a ne jamais le laisser trainer de peur qu'il tombe entre de mauvaises mains. Certains d'entre vous diront que Nate River est une personne qui cherche a etre le plus différent possible des autres, mais en réalité, Nate River, a l'origine, n'a aucun rapport avec le monde magique...
Son père et lui décidèrent de se rendre en premier chez Ollivander, le fabriquant de baguettes magiques. Ils entrèrent tous les deux, Near en premier. Une petite clochette tinta leur entrée et on appercut directement la silhouette vieillie de notre cher Ollivander qui s'approchait de son père pour le saluer et enfin tenda sa main a Near. Ollivander le regarda un instant et fit mine d'avoir trouver quelque chose. Il s'absenta deux minutes et revint avec une petite boite rectangulaire en bois, qu"il ouvrit et en sortit un batonnet qui était en fait une baguette.

[Ollivander] : Chèvrefeuille avec une plume d'Hippogriffe, 24 centimètres 50, rigide.

Near prit la baguette que lui proposait son propriétaire et su a l'instant même qu'elle ne lui convenait pas. Le manche était trop étroit a son gout et la longueur trop petite. Il fit le geste que tous doivent faire pour tester la baguette, mais une fumée légère et transparente verdâtre s'en échappa et se dissipa. La couleur était bien mauvaise pour que se soit la bonne. Ollivander pensait avoir trouver autre chose et s'en alla dans les étagères. Il en revint avec une autre boite semblable a la précédente.

[Ollivander] : Bois d'Ajonc avec une plume de cheval ailé, 35 centimètres 65, moyennement souple.

Le manche de la baguette que lui proposait Ollivander était assez large cette fois ci, et la longuer était nettement plus longue. Elle était plutot légère, souple mais pas trop, il pensait cette ci que ce serait la bonne. Il agita sa baguette un peu négligement, ne sachant pas très bien comment cela fonctionnait, et une pluie de poudre dorée et argentée en sortie. Celle-ci lui convenait parfaitement.

[Le père de Near] : Je vous remercie infiniement Monsieur !
[Ollivander] : Revenez quand vous voulez !

Son père paya quatre gallions pour la baguette et il l'entraina a l'extérieur de la boutique pour l'achat des livres et autres affaires scolaires.

Depuis mon arrivé ici, je n'avais qu'une hate, acheter une baguette. Ce petit baton magique m'avait toujours intrigué petite, même quand je ne savais pas alors ce que c'était. Une forme si belle, si fine. Elle m'avait toujours parut vivante, gracieuse tout ce qui a de plus beau sur terre quoi.. Mon père en avait une représentant le courage m'avait-il dit, en gros du moin. Ce qui m'avait le plus étonner lorsque je ne savais encore rien sur la magie, c'est que ce n'était pas le sorcier qui choisissait sa baguette, mais bien l'inverse. Aujourd'hui j'aurais au moin pu avoir la joie de repensé à mes idées sur le monde magique d'enfance. D'agréables souvenirs oui..
Je marchais alors dans la principale allée du chemin de traverse, une boule au ventre, mais c'était plutot agréable, presque même réconfortant.
La porte d'Ollivander approchait au fur et à mesure que mes jambes flageolaient de bonheur. Un léger sourire aux lèvres j'entrais dans la boutique, voyant qu'il y avait quelque personne avant moi, j'attendais, admiratrice de toute les baguettes montant jusqu'au plafond se trouvant dans le magasin sous mes yeux. Quand ce fut enfin mon tour, je m'avançais, un sourire plus authentique désormais, recoiffant une mèches qui tombait sur mes yeux.

- Bonjour ! Je recherche une baguette plutôt fines et pas très longue si possible..

Monsieur Ollivander acquiesca souriant lui aussi bien que moin que moi. Il devait surêment avoir l'habitude de voir des gens comme moi, aussi heureux d'acheter des baguettes. Il sortit plusieur boites toutes différentes par leurs formes puis il m'en fit essayer une d'entre elle dont la boite était verte. Lorsque la baguette fut en contact avec le bout de mes doigts seulement, une lumière aveuglante fut émis et provoqua un éclair sur quelque autre baguette qui était tranquillement rangées dans leurs boîtes..

- Je suis désolé..

Monsieur Ollivander s'exclaffa respectueux tout de même. Je passais une main dans mes cheveux nerveusement, je pensais qu'aucune baguette n'aurait pu me corresponde.. Même si ce n'était que ma première j'avais peur..
Monsieur Ollivander m'en donna alors une autre en main propre, confiant, il me regarda. La baguette bougeait toute seule dans ma main, elle se mit à tourné de plus en plus vite et je préfèrais la laché pour ne pas refaire d'autre dégats.
Le vendeur avait l'air de réfléchir pendant quelque secondes, jusqu'a ce qu'il me donne une autre boite, rouge qu'il m'ouvrit pour que je prenne moi même la baguette cette fois. J'avais cru qu'elle allait tombé par terre mais mes mains était tellement moite qu'elle glissait toute seule. Je l'a pris aisément, puis je lançais un sort simple pour être sûre qu'elle me convenait.

- Elle est parfaite !

Monsieur Ollivander me fit un sourire satisfait puis remit ma baguette dans la boite rouge élégante. Je donnais alors les quatres gallions demandés, puis je sortis sans oublier les dernières paroles qu'avait prononcer monsieur Ollivander : " C'est une baguette en bois d'Aulne, avec de la poudre d'aile de fée, elle mesure 22 centimètres".
C'est avec ses mots à mes oreilles que je rentrais le sourire encore plus grand qu'en entrant.

Kimberlay entra dans la piece observa autour d'elle avec admiration puis sont regard cz fixa sur les baguettes elle s'approcha et les observa soudain une vielle voix lui dit
- Vous désirer une baguette c'est ça mademoiselle ?!
Kim surpris se retourne et reppondis timidement;
-euh ... oui c'est ça c'est une amie qui me conseille
puis elle pointa une d'entre elle et dit;
-celle la elle est très belle c'est quoi au juste la matiere ?
le vendeur la regarda puis dit ;
- c'est en en bois de Cerisier, avec une plume phénix de et mesurant 25.5 cm
le vendeur lui tendit et repris;
-ça seras 5 gallions mademoiselle
kim paya cinq gallions pour la baguette elle etait de couleur boit avec des reflets rosatre entourer de petites gravure de fleur de cerisier.....

Cela faisait maintenant dix jours que ma mère était morte. Son corps avait été enterré à Edimbourg, là ou je vivais désormais avec Gail, la seule personne que j'avais maintenant, même si je le connaissais vraiment très peu voire pas du tout. J'avais toujours vécu avec ma mère qui sentait si bon, une odeur de fleur, certainement du lilas.

Je mettais le pied dehors pour la première fois depuis dix jours. Moi, qui avais l'esprit très terre à terre, je n'en revins pas de voir qu'il y avait un autre monde que celui d'où j'émanais. C'était vraiment surprenant, tellement que je faillis en tomber à la renverse. Cela ressemblait un peu à l'Angleterre, - dont j'étais peu habitué mais dont je maitrisais la langue aussi bien que possible - mais en plus grand, magique. Nous allames tout d'abord à la banque, pour m'ouvrir un compte magique. Les gobelins, comme ils étaient appellés, ne semblaient pas très aimable mais paradoxalement très compétent.

Je ne comprennais pas vraiment pourquoi est ce que Gail m'avait emmené ici. Mais soudainement, en voyant des jeunes de mon age portant des robes comme on en portait au dix neuvième siècle, que je compris pourquoi. Ils avaient diverses couleurs sur eux, certaines robes avaient un blason vert, un rouge, un bleu et aussi un jaune. Le seul blason que j'avais vu jusqu'à aujourd'hui fut celui de ma famille, en Allemagne. Il y avait deux aigles, pointus qui me faisaient un peu peur au début mais ma mère m'expliqua que c'était pour nous protéger des personnes maléfiques.

Une tonne de questions - si ce n'est plus - me traversèrent l'esprit mais voyant Gail occupé à marchander avec des personnes, je fis preuve de retenue, même si cela ne me ressemblait pas.

Nous continuames notre périple kusqu'à un magnifique magasin de musique, nommé bizarrement "M&M". Il y avait de tout, mes yeux brillaient de milles étoiles mais il n'y avait pas l'instrument dont je jouais, le piano. Et oui, comme tout bon fils de la Haute Bourgeoisie, j'appris très tot à jouer au piano. Mon ancien professeur, Herr Zimmermann était quelqu'un de très sévère qui ne supportait les fausses notes, c'est don cun domaine où j'excelle à en croire mes proches. Et d'ailleurs, ceci rendti fou de jalousie, mon frère Hans.

Je me demandais ce qu'il devenait et s'il était attristé par la mort de notre mère mais sans trop y croire. Il aurait été incongru de demander à Gail de m'acheter une sorte d'instrument alors qu'il y avait plus urgent, d'après lui.

Gail me laissa devant une petite boutique, assez sombre. Il y avait inscrit dessus : Ollivanders. Cela devait etre un marchand de baguette si je me référais à son écusson. Je regardai derrière moi, voir s'il y avait encore Gail, mais non, ce dernier était déjà s'affairer ailleurs. J'avalai péniblement ma salive avant de pousser maladroitement la porte. Sans faire attention, je la tordis un peu. A mon age, j'avais encore un peu de mal à me controler et vu ce qu'il c'était passé il y a dix jours, ceci pouvait etre compréhensible mais je tenais à garder le sourire.

"Bonjour monsieur !" Annonçai je, toujours un sourire accroché aux lèvres.

Un vieil homme glissa avec grace de son échelle, me regarda avec curiosité puis me répondit.

"Et bien, mon p'tit gars, tu me parais bien triste"Répondit il, je me sentit mal, j'avais envie de vomir, je baissai la tete alors que ce dernier s'approcha de moi.

Il me prit par l'épaule puis vit que j'avais besoin d'un nouveau départ mais que j'avais aussi peur, peur du futur, peur du passé, du présent mais que je pouvais en tirer profit. C'est ainsi, en à peine quelques minutes d'observation que Mr Ollivanders me donna un bout de bois.

"Faites le geste !" M'ordonna t-il, d'une voix forte et distinguée.

Un geste qu'est ce qu'était cette mascarade, un bout de bois cela se lance, rien de plus, rien de moins... Pour lui faire plaisir, je fis son fameux "geste" et là, miracle, une atmosphère étrange se créa, les murs se mirent à vibrer sans se détruire, le sols à trembler mais en ne causant pas de dégats. J'étais stupéfait, lui aussi à en croire sa tête vieillie par le temps. Gail entra dans la boutique, en ayant des poches de toute sortes, dont une comportant de l'encre, des parchemins et aussi accessoires servant, certainement, aux cours d'une école magique.

"Cela fera quatre gallions pour une belle baguette en Bouleau, Crin d'Hypogriffe d'une mesure de 32 centimètres." Annonça l'homme, fier de sa vente.

Gail lui donna la somme requise, puis je me glissai à côté de lui, en prennant ma baguette dans ma main.

"Tu m'apprendras à la manipuler, c'est vraiment étrange les bouts de bois ici..." Rétorquai je, en sortant de la boutique avec Gail.

C'était un jour pluvieux et il y avait tellement de brouillard, que l'on ne pouvait voir à plus de dix mètres. Un homme portant un manteau de cuir noir avec un capuchon marchait doucement et lentement à travers la pluie et le brouillard. Le capuchon qu'il portait couvrait presque tout son visage. On ne voyait qu'une silhouette noire. La silhouette entra subitement dans un magasin nommé " Ollivander ". Une fois dans la boutique, l'homme enleva brusquement son capuchon et l'on put reconnaître Jake. Il s'avança jusqu'au comptoir de la caisse mais personne ne s'y trouvait. Jake attendit quelques minutes puis un jeune homme vint le servir. Contrairement à Ollivander, cette personne était jeune, sans ride et bien moins compétente. Stupéfait, Jake lui adressa la parole d'une voix féroce et sans émotion.

- Où est Ollivander petit!!

Le jeune homme lança un regard stupéfait à Jake puis lui répondit d'une voix un peu effrayé et en bégaillant.

- Euh...Olli...Ollivander n'est...n'est pas là pré...présentement. Il est malade aujour...aujourd'hui. Je...je le remplace... je m'appelle Gregory...à vot...votre service...monsi...monsieur.

Le petit rictus que qui était dessiné sur les lèvre de Jake s'effaca d'habitude, Jake préfère énerver Ollivander qu'un petit minable dans le genre de Gregory.

- Arrête de béguaillre imbécile!!! Maintenant donne moi une saule, crin d'hippogriffes 25 centimètres et plus vite que ça!!!

- T...t...tou de suite...monsieur...

Le jeune Gregory semblait tellement effrayé qu'on aurait dit qu'il venait de voir toute sa famille mourir devant ses yeux. Sur ce, le petit rictus habituelle de Jake se redessina. Le jeune Gregorya acourrut lui cherché la baguette qu'il voulait puis il revint la lui donné. Jake lui lança un regard glaciale puis lui jeta en pleine figure quatre gallions, puis il repartit en disparaissant de nouveau dans le brouillard...

Il y a 18 ans, Maude était venue ici accompagnée de Mrs. Newell. Les parents de la jeune fille de 11 ans étaient encore au travail et la gouvernante avait décidé d'emmener l'enfant sur le Chemin de Traverse, suite à l'arrivée d'un hibou qui indiquait que Maude avait été accepté à l'Ecole de Sorcellerie Poudlard. Il y avait la liste des effets qu'elle aurait besoin, attachée à la lettre. Mrs. Newell et la jeune fille étaient alors filées, dans l'immédiat, sur le Chemin de Traverse. La première boutique qu'elles avaient rencontré sur leur chemin fut Ollivander. Maude était repartie avec une baguette en bois d'Ajonc avec un crin d'hippogriffe à l'intérieur. Et sa taille était de 28 cm. Moins d'un mois plus tard, Maude faisait ses études chez la maison Serpentard.

Lorsque l'inspectrice revint de nombreuses années ensuite, c'était pour des raisons très différentes. En effet, Maude avait été nommé Inspectrice des lieux publiques, par le MdlM. Le premier endroit qu'elle inspecta se révéla être la boutique du commerçant de baguettes. Avec un petit air suffisant, Maude entra là et demanda à haute et intelligible voix :

-Puis-je voir Monsieur Ollivander ?

La seule cliente présente, une fillette de 11 ans accompagnée de sa mère sursauta. Un vieillard sortit de plusieurs étagères, lança un regard mauvais à l'inspectrice et tendit une boîte à la future élève de Poudlard.

-Bruyère, ventricule de coeur de dragon, mesurant 21 cm. Très souple ... Faites en bon usage ,dit-il d'une voix qui trahissait son agacement, quant à la visite de l'inspectrice.

La fillette bredouilla un faible '' merci '', sa mère offrit un sourire appréciateur à Ollivander et quitta l'endroit en jetant un regard noir à Maude qui haussa les sourcils. Quand elle fut partie avec son enfant, l'inspectrice se retourna vers Ollivander et remarqua d'une voix froide :

-Je vous avais pourtant averti de ma visite, Mr.Ollivander.

-Oh, mais je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas servir un dernier client, avant de vous rencontrer, Mlle. Wenlock ,répliqua sèchement le vieillard.

Maude l'ignora complètement, elle dit plutôt :

-Comme vous le savez, je suis venue ici pour inspecter votre ... boutique. Et vous posez quelques questions, aussi ... Quel est votre lien avec le véritable Ollivander ? ,demanda-t-elle brusquement.

Le fabricant de baguettes magiques sembla pris au dépourvu.

-Que ... que ... comment ... ,balbutia-t-il, l'air choqué.

-Je vous ai posé une question, monsieur Ollivander ! ,s'exclama l'inspectrice en appuyant sur le "monsieur''.

Le vieillard grommela quelques insultes dans sa barbe, mais Maude ne l'entendit pas. Ensuite, il répondit :

-Ollivander avait un frère ... Ce même frère avait un fils qui a pris sa relève à sa mort. Je suis le petit-fils de ce fils ... Et comme vous le savez sûrement, miss ... Nous avons tous le même nom de famille : Ollivander !

Il leva un doigt qui semblait accusateur, sur l'inspectrice. Celle-ci haussa les sourcils, puis posa une autre question :

-Depuis combien de temps occupez-vous la propriété de cet endroit ?

-Quelques années, seulement. Mon père est mort il y a quelques années seulement ,répondit le vendeur d'une voix bourrue.

-Mais pourtant, vous êtes très âgé ... ,fit remarqué Maude en arquant une fois de plus les sourcils.

-Mon père l'était encore plus que moi ! ,s'exclama Ollivander, l'air vexé, insulté.

-Bien, dit-elle en écrivant des notes sur un bloc-notes à une vitesse ahurissante.

-J'ai vu que vous offrez un rabais d'un Gallion à vos clients ... Pourquoi ? ,poursuivit-elle en écrivant une nouvelle note, bien qu'il n'eut encore rien dit.

-Il est tout naturel pour moi de faire des rabais à mes clients lors d'occasions spéciales ! Seuls les immondes commerçants de l'Allée des Embrûmes ne veulent pas contribuer ... ,tempêta-t-il, offusqué.

Maude griffonna une nouvelle note en haussant les sourcils de nouveau et elle l'interrogea une dernière fois :

-Mais est-ce que votre état financier vous le permet ?

-Bien ... bien sûr ! ,hurla Ollivander, hors de lui.

-Parfait, j'ai tout ce qu'il me faut. Mais avant de partir, permettez-moi de visiter votre boutique.

C'est ce qu'elle fit par la suite, après que Ollivander est hoché la tête d'un air encore choqué. Quand Maude eut terminé, elle annonça :

-Tout me semble en ordre, mais il y a beaucoup de poussière.Faire le ménage existe, monsieur Ollivander ! Je vous donnerai les résultats de mon inspection dans quelques jours.

Puis, elle prit congé sous le regard scandalisé du vieil homme.

Nombre de messages : 10 Points : 5426 Date d'inscription : 24/07/2009

Jimmy marchait d'un pas agitée aux côtés de ses parents. Après avoir dévalé l'allée principale, Jimmy arriva devant une boutique. Au dessus de la porte, des lettres d'or écaillées indiquaient " Ollivander-Fabricants de baguettes depuis 382 avant J.-C " Jimmy y entra avec ses parents. L'endroit était poussiéreux. Une simple chaise toute délabré était mise pour les clients. D'un pas rapide le jeune Jimmy se dirigea vers le comptoir. Un viellard s'y dressait. Il avait des cheveux argentés tout ébouriffés. Son visage était couvert de ride. Les parents de Jimmy étaient très strictes avec lui. Lorsqu'il était en leurs compagnie, il était toujours polie et courtois envers tout le monde.

- Bonjour monsieur Ollivander! Je me cherche une baguette!

- Mmm...oui je m'en doutais. Approche et donne moi ton bras...

Si c'est parents n'était pas là pour l'assisster, Jimmy aurait sûrement dit un " Allez viellard une baguette et vite!! " Mais vu les circonstences, mieux valait faire ce qu'Ollivander disait. Ainsi, il lui donna son bras et Ollivander déroula un ruban de mesure et pris le bras droit de Jimmy. Il le mesura puis après deux minutes il conclut:

- Il te faut uune baguette qui mesure 31,5 centimètres. Mais de quoi? Nous allons le découvrir! Tiens prends celle-là. C'est du bois d'érable contenant une plume de cheval ailé, attention de ne pas confondre avec l'hippogriffe.

Jimmy prit donc la baguette que Ollivander lui avait suggéré. Dès qu'il l'empoigna il sentit une immense force l'envahir. Aussitôt des étincelle rouge jaillirent de la baguette. Effectivement c'était la bonne.

- Wahh bah dis-donc. Du premier coup! Vous êtes fort m'sieur.

Les parents de Jimmy lui sourirent puis ils donnèrent trois gallions à Ollivander avant de quitter la poussièreuse boutique...

» RPG - Les Baguettes de Gregorovitch [Rabais]